4.0 En guise de conclusion

samedi 30 avril 2005.
 

Malgré de nombreuses ressemblances avec la photographie traditionnelle, l’holographie se démarque par ces images en trois dimensions, et par l’effet de parallaxe.

A ces débuts, l’holographie était une science très complexe : on réalise un hologramme grâce à des lasers, des tables anti-vibrations, des calculs savants d’angles... Construire un hologramme « optique », c’est à dire de façon artisanale nécessite des paramètre que l’on n’arrive pas toujours à maîtriser(ex :aucune vibration).

Cette façon de réaliser un hologramme est devenue très coûteuse et très complexe. Maintenant la plupart des hologrammes sont réalisés par ordinateur qui n’ont pas à tenir compte de certains paramètres. Ce remplacement de techniques s’explique chronologiquement : l’une étant l’ancêtre de l’autre, il s’agit d’une continuité technologique que l’on a deja connu avec les téléphones.

Les hologrammes « numériques » (appelé comme ça car l’ordinateur réalise tout les calculs) ont pris le dessus sur les hologrammes « optiques »qui verront dans les années à venir leurs nombres de plus en plus restreints.

On peut alors affirmer que l’holographie numérique supplantera celle optique si cela n’est pas deja fait ; nous sommes, en tout cas, en plein dans la phase de transition. L’holographie risque de prendre de plus en plus de place dans notre vie quotidienne.

Le progrès dans cette technique s’effectue si rapidement que d’ici dix années, le visionnement d’un film holographique sera sûrement un évènement banale. Une ère nouvelle débarque : celle de l’holographie qui amène avec elle toutes ces possibilités les une les plus folles que les autres.